Saltar para: Posts [1], Pesquisa [2]

Jonasnuts

Jonasnuts

L’endroit à éviter au Cap-Ferret : Il Giardino, alegadamente

Jonasnuts, 20.07.14

O meu francês já não é o que era (aliás, nunca foi), mas ainda chega para as encomendas. Isso, aliado ao facto de eu ser super fanzoca de Barbra Streisand (sou mesmo), mais o post que escrevi há bocado (auto-link), fazem-me transcrever aqui um post que já só está disponível nos web archives.

 

 

 

"Le Cap-Ferret est peut-être le Paradis, mais force est de constater qu’il y est un lieu, autrefois charmant, qui n’évoque plus guère ni le jardin d’Eden ni celui d’Épicure : le petit restaurant Il Giardino, spécialisé dans les pizza (mais pas que !) comme son nom italianisant le laisse présumer, et où nous avions l’habitude de nous rendre une ou deux fois par an. Cette année, ne dérogeant pas à cette tradition désormais ancrée dans le déroulement de nos vacances, nous y allâmes dîner.

 

Comme le titre de cet article le laisse présager, nous fûmes déçus. Pour plus de commodités, je vais laisser là le passé simple pour vous narrer cette aventure qui ne manque pas de piquant, mais qui par contre laisse désirer côté apéro et amabilité.

 

Lorsque nous sommes arrivés, un premier serveur nous a demandé, logiquement, si nous désirions manger en terrasse ou à l’extérieur, et comme il y avait pas mal de vent, nous avons opté pour l’intérieur, et sommes donc allés nous installer à une table. Immédiatement, une harpie en gilet fluo nous saute sur le paletot pour nous houspiller de nous installer sans autorisation (alors que, et d’une, nous en avions une, d’autorisation, et de deux… j’aime pas trop me faire engueuler par les serveurs, en général — par personne, du reste, mais encore moins lorsque je suis le client). Bref, ça ne commence pas très bien, mais le malentendu levé, elle nous file les menus. Et la, première erreur fatale dont découlera tout le reste : elle ne nous demande pas, comme c’est la coutume, si nous désirons un apéritif. Or, un apéritif, nous en désirions un (comme très peu de clients manifestement, mais enfin, c’est bien notre droit tout de même). Arrive une deuxième serveuse, qui prend notre commande, mais ne nous demande toujours pas si nous désirions l’apéritif (logique : sa collègue était supposée l’avoir fait), que nous sommes donc obligés de réclamer (nous y tenions).

 

Dix minutes passent, et toujours pas l’ombre ni de notre apéritif, ni de notre bouteille de vin d’ailleurs. Alors qu’immédiatement après avoir pris notre commande, la deuxième serveuse aurait dû nous le préparer et nous le servir : le principe de l’apéritif, c’est de permettre d’attendre sagement son plat. Enfin, il me semble. Donc je hèle un troisième serveur (nous reviendrons plus bas à cette question épineuse de l’enchaînement des serveurs) et lui dis (aimablement !) que ça serait bien de nous servir l’apéro, parce que sinon, nos plats vont arriver avant lui. Et bingo, alors que serveur n°3 nous apporte (enfin ! Nous commencions à nous dessécher) nos tant désirés apéritifs (sans cacahuètes. Fut une époque lointaine, dans ce restaurant, on nous donnait des cacahuètes avec l’apéritif. Ailleurs, on nous donne même des vraies tapas pour pas plus cher. Ta Panta Rei), nos plats arrivent avec serveuse n°1. Plats que nous renvoyons parce que zut, du coup nous n’en sommes qu’à l’apéro (par leur faute) et que le pastis accompagne mal l’entrecôte-frites. La serveuse bougonne.

 

Et ça continue. Alors que nous buvions, arrive la patronne, peu aimable malgré ce qu’elle voudra bien affirmer (à côté, les serveurs du café Marly méritent la palme d’or de la courtoisie), vient nous dire de nous signaler quand nous voudrons nos plats, parce qu’ils viennent déjà de jeter une entrecôte et que si ça doit durer 1/2 heure notre histoire, ça serait bien de le dire. Nous essayons donc de lui expliquer notre souci, et de lui faire remarquer ce qui, pour nous et depuis de nombreuses années, est la source du problème dans nombre de restaurants : que les serveurs n’ont plus de tables attitrées et qu’ils vadrouillent au gré du vent, ce qui fait qu’il n’y a plus aucun ordre et que règne la désorganisation la plus totale. Mais là, elle a une excuse (et là, je vous jure que je n’invente rien) : elle ne peut pas faire bosser ses serveurs plus de 44h et il faut qu’elle leur donne des jours de repos, alors comprenez mes braves gens, ça lui ferait trop de personnel à payer.

 

Stop ! Quoi ? Elle n’a pas le droit de faire bosser ses employés 24/24 7/7 ? Mais franchement, où va le monde !

 

Bref. On nous apporte notre vin (froid !) et nos plats, réclamés deux fois. L’entrecôte était nouvelle, ok, ce qui n’était pas le cas des pizza, sèche sur les bords. Bon. Nous prenons, quand même, un dessert (ce que n’ont pas fait les gens de la table d’à côté, partis en jurant qu’ils ne reviendraient pas). Bon, ok, les boules de glace étaient grosses. Mais bon.

 

Ma maman va payer, et essaie de revenir sur l’incident, et se fait envoyer paître par une patronne toujours aussi mal embouchée et dédaigneuse. Et elle a payé les apéros, source du conflit, alors qu’il est d’usage, dans la restauration, de les offrir aux clients lorsqu’il y a un souci (vu la marge qu’il se font dessus, ils peuvent se le permettre).

 

Conclusion ? Un restaurant où nous n’irons plus parce que la patronne se prend pour une diva (alors que, sérieusement, elle n’est pas la propriétaire de Chez Hortense, non plus), l’une des serveuses serait bien inspirée de ne jamais bosser à Londres parce qu’elle ne risque pas de pouvoir vivre de ses pourboires, et on se fout du client et le sens du commerce est plus qu’approximatif. Je vous engage à le noter dans votre liste noire si vous passez dans le coin !

 

(tout ça pour deux apéritifs… à quoi tiennent les guerres)

Il Giardino
71 Bd de la plage
Cap-Ferret"

 

Mais informações sobre este caso aqui e aqui.

 

O blog onde o texto foi escrito originalmente (e onde já não se encontra) pode ser visto aqui.

 

Obviamente, os senhores do Il Giardino estão a levar porrada, forte e feio, em tudo o que é lado, e espera-se que continue desta forma.

Deja vu

Jonasnuts, 20.07.14

Mas com um resultado diferente.

 

French blogger fined over review's Google search placing

 

O post parece ter desaparecido (o que é uma pena), mas o Blog onde foi escrito originalmente, pode ser visto aqui. É uma pena que o post tenha desaparecido, porque o efeito Streisand aplicado a este caso, seria um mimo. Mimo que gostaria de endereçar ao senhor dr. juiz e ao restaurante propriamente dito. Mais sobre este tema assim que tenha tempo :)

 

 

Via Facebbok do Miguel Albano.

 

 

Caro João Galamba

Jonasnuts, 21.11.13

Isto é inadmissível.

tweet.jpg

Não pelos motivos apresentados pelos produtores de vídeo (o que é que lhes garante que tu não estavas a pedir um link para a transmissão online legal da coisa?), mas porque, desportivamente, as escolhas são deploráveis.

 

Ainda se fosse um Benfica -Qualquer coisa, ou um Qualquer coisa - Benfica, compreendia. Mas lagartos e andrades?

 

Deplorável.

Cara Fnac

Jonasnuts, 19.11.13

Se por acaso alguém vos comprar um iPhone, e, passados uns tempos o puser aí a reparar, não contactem com a cliente a pedir o username e a password do Apple ID.

 

Sabem..... pedir usernames e passwords do Apple ID (ou de qualquer outro serviço) vai contra o bom senso, contra as mais básicas normas de segurança e, mais importante, contra os termos de utilização do serviço.

 

E insistirem com uma pessoa para que dê o username e a password, para que vocês possam transmitir a terceiros, também não é boa ideia.

 

E serem mal educados, alegando que a pessoa "não está a facilitar", também não ajuda. Não é por mim que falo, eu sou, para vocês, um caso perdido e não voltarei a ser vossa cliente (ver aqui porquê - auto-link).

 

Quando a cliente se oferece para se deslocar às vossas instalações, para ser a própria a inserir username e password para desactivar a app que está, dizem vocês, a impedir a intervenção, aceitem, e não digam que é impossível.

 

Por acaso deram com uma cliente muitíssimo bem informada (e sensível) acerca das questões relacionadas com a segurança dos dados, mas suponho que seja o pão nosso de cada dia, fazerem este tipo de pedido aos clientes.

A Apple vai gostar de saber.

O Beijo

Jonasnuts, 18.08.13

Vejo muita gente a embandeirar em arco, porque duas atletas russas deram um beijo na boca, enquanto recebiam no pódio a medalha de ouro, nos campeonatos mundiais de atletismo.

Beijo_lésbico_de_atletas_russas_acende_polémica_-_JN-20130818-130103 (1).jpg

Há mesmo quem faça notícias dizendo "Beijo lésbico de atletas russas acende polémica". Ora isto é uma de duas coisas. Ignorância ou sensacionalismo manipulador.


Toda a gente sabe (ou devia saber) que o beijo na boca é uma saudação banal, na Rússia, sem qualquer contexto homossexual.

E toda a gente devia saber, porque há inúmeros exemplos (uns mais icónicos do que outros) disso mesmo. São habituais e frequentes, as imagens de atletas, políticos, etc., Russos, a beijar-se na boca por dá cá aquela palha.

 

Querer transformar o beijo destas duas atletas num protesto, à força, é idiota. A não ser que as atletas façam sair um comunicado dizendo que sim senhor, que se trata de um protesto, deverá ser interpretado como uma saudação, para celebrar a vitória, igual a tantas outras....

Daria_Iushko_and_Kysenia_Sydorenko_-_Memorable_Kisses_in_Sports_-_Photos_-_SI.com-20130818-131632.jpg

 

E se quiserem ir para a mais icónica das imagens deste tipo, é esta:

brezniew.jpg_(JPEG_Image,_550 × 309_pixels)-20130818-130244.jpg

Se não souberem quem são os intervenientes, podem saber um pouco mais acerca da história deste beijo, e desta foto, aqui.


Jornais que publicam e mantêm "notícias" daquele género, merecem deixar de ter leitores. Não se podem é depois queixar, de que estão a afundar-se. É um afundamento auto infligido. E, apesar disto estar a ser escrito ao início da tarde, não tenho quaisquer dúvidas de que haverá, nos telejornais da noite, quem faça "notícia" disto.

Burros.